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30 septembre 2020 3 30 /09 /septembre /2020 08:59

Vous pensiez qu’il n’y avait pas d’élections à Cuba ? Vous aviez tort. Le 11 mars 2018, tous les citoyens cubains éliront leurs délégués aux Assemblées provinciales du pouvoir populaire (APPP) qui éliront eux-mêmes leurs députés à l’Assemblée nationale du pouvoir populaire (ANPP).

Le processus électoral cubain est organisé par la Constitution cubaine ratifiée par référendum en 1976. En voici les grandes lignes expliquées par le site Cubadebate :

  • Élections des délégués provinciaux : tous les citoyens cubains âgés de 16 ans et plus, ainsi que tous les résidents dans le pays depuis au moins deux ans, élisent leurs délégués municipaux aux APPP pour une durée de cinq ans. Les citoyens candidats s’inscrivent sur les listes électorales. Les électeurs peuvent voter pour autant de candidats qu’ils le souhaitent en inscrivant un X à côté des noms des personnes qu’elles choisissent. Ceux qui veulent voter pour l’ensemble des candidats mettent un X dans le cercle qui apparaît dans l’en-tête du bulletin de vote. Au total, 15 000 délégués provinciaux sont élus au sein de 169 APPP.

  • Élections des députés : les citoyens élus comme délégués provinciaux éliront ensuite les députés à l’ANPP à proportion d’un pour 20 000 habitants d’une municipalité, plus un autre par tranche de 10 000 habitants supplémentaires. Au total, 605 députés siègeront à l’ANPP pour une durée de cinq ans.

  • Élections du Conseil d’État : les députés de l’ANPP élisent ensuite les 31 membres du Conseil d’État (ce sont eux, par exemple, qui conformément à la Constitution, ont élu le président Raul Castro en février 2008).

Autant de partis que de citoyens et des élus révocables payés au salaire qu’ils percevaient au moment de leur élection !

On le voit, ce qui distingue d’abord le processus électoral cubain du nôtre, c’est l’absence de système partidaire, vilipendé tout autant par Fidel Castro que par… le général De Gaulle. À Cuba, tout part de la base, sans filtre d’un « régime de partis » parasite, « d’agences, de radios et de journaux complices » (Charles de Gaulle).

« Ce que nous voulions éviter, c’est en premier lieu l’introduction de la politique politicienne, la corruption, la division et la fragmentation dans notre processus électoral. Certaines personnes à l’étranger disent qu’il n’y a pas de démocratie sans système multipartite. Dans notre pays, il y a un « système de millions de partis », parce que tout citoyen de ce pays d’âge légal – des millions de Cubains – peut proposer la nomination de tout citoyen du pays » (Fidel Castro).

À noter que le Parti communiste de Cuba, ce « parti unique » si décrié par les Occidentaux, n’intervient pas dans le choix des candidats aux diverses élections, mais joue le rôle d’un conseil constitutionnel garant de la constitution cubaine (et du socialisme).

D’autres détails savoureux distinguent la démocratie à la cubaine de la nôtre :

  • tous les députés sont révocables selon des termes prévus dans la Constitution ;

  • pendant la durée de leur mandat, les députés se voient garantir le salaire qu’ils percevaient au moment de leur élection et rien de plus !

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16 septembre 2020 3 16 /09 /septembre /2020 07:41

Ou la planète déshumanisée

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31 août 2020 1 31 /08 /août /2020 10:08
Zinoviev et le grand avènement de la démocratie totalitaire
Repris sur comité  Comité Valmy

 

 

 

Alexandre Zinoviev devint un dissident de la société mondiale après avoir été un dissident soviétique. A l’époque il y avait des dissidents, maintenant, comme dit Paul Virilio, il n’y a plus que des dissuadés.

En 1998, le maître répond à une interview et explique que tout allait bien à l’ouest quand nous étions sous la menace soviétique (le capital avait peur) :


Pendant la guerre froide, la démocratie était une arme dirigée contre le communisme, mais elle avait l’avantage d’exister. On voit d’ailleurs aujourd’hui que l’époque de la guerre froide a été un point culminant de l’histoire de l’Occident. Un bien être sans pareil, un extraordinaire progrès social, d’énormes découverts scientifiques et techniques, tout y était


La fin du communisme fut le crépuscule de nos droits sociaux et politiques (fin de l’Histoire !) :


Mais la fin du communisme a aussi marqué la fin de la démocratie, notre époque aujourd’hui n’est pas que post communiste, elle est aussi post démocratique. Nous assistons aujourd’hui à l’instauration du totalitarisme démocratique, ou si vous préférez à l’instauration de la démocratie totalitaire.


Zinoviev décrit très bien le redoutable mondialisme qui naît du défunt et redouté communisme :


Aujourd’hui nous vivons dans un monde dominé par une idéologie unique, un fait unique, par un parti unique mondialiste. La constitution de ce dernier a commencé à l’époque de la guerre froide, quand des structures transnationales se sont mises en œuvre sous les formes les plus diverses : médias, sociétés bancaires, sociétés commerciales… Malgré leurs différents secteurs d’activités, ces forces étaient unies par leur nature supranationale. Avec la chute du communisme, elles se sont retrouvées aux commandes du monde.


Cette démarche est suicidaire, qui va à terme, avec la crise du Covid, nous priver de nos libertés, de nos économies et aussi (pourquoi pas ?) de nos vies :


Les pays occidentaux sont donc dominateurs, mais aussi dominés car perdent progressivement leur souveraineté au profit de ce que j’appelle la « supra société ». Elle est constituée d’entreprises commerciales et non commerciales dont la zone d’influence dépasse les nations. Les pays occidentaux sont soumis comme les autres au contrôle de ces structures non nationales… Or la souveraineté des nations est elle aussi une part considérable et constituante du pluralisme, donc de la démocratie, à l’échelle de la planète.


Zinoviev comprend l’horreur européenne :


L’intégration Européenne qui se déroule sous nos yeux, provoque elle la disparition du pluralisme au sein de ce conglomérat, au profit d’un pouvoir supranational.


Il comprend que nous ne connaîtrons plus de démocratie politique ou économique comme à l’époque de la guerre froide :


Les pays occidentaux ont connu une vraie démocratie à l’époque de la guerre froide. Les partis politiques avaient de vraies divergences idéologiques et des programmes politiques différents. Les organes de presse avaient des différences marquées, eux aussi. Tout cela influençait la vie des gens, contribuait à leur bien-être. C’est bien fini.

Parce le capitalisme démocratique et prospère, celui des lois sociales et des garanties d’emploi devait beaucoup à l’épouvantail communiste. L’attaque massive contre les droits sociaux à l’ouest a commencé avec la chute du communisme à l’ouest.


A la fin des années 90, les socialistes sont de pures canailles (voyez aussi les excellents pamphlets de Guy Hocquenghem et de mon éditeur Thierry Pfister qui datent des années 80) :


Aujourd’hui les socialistes au pouvoir dans la plupart des pays d’Europe mènent une politique de démantèlement social qui détruit tout ce qu’il y avait de plus socialiste justement dans les pays capitalistes. Il n’existe plus en occident de force politique capable de défendre les humbles. L’existence des partis politiques est purement formelle. Leurs différences s’estompent chaque jour d’avantage.


C’est le totalitarisme financier jadis expliqué par Paddy Chayefsky dans Network (1976) :


La démocratie tend aussi à disparaître de l’organisation sociale occidentale. Cette super structure non démocratique donne des ordres, sanctionne, bombarde, affame. Même Clinton s’y conforme. Le totalitarisme financier a soumis les pouvoirs politiques. Le totalitarisme financier est froid. Il ne connaît ni la pitié, ni les sentiments. Les dictatures politiques sont pitoyables en comparaison de ce totalitarisme-là. Une certaine résistance était possible au sein des dictatures les plus dures, aucune révolte n’est possible contre une banque.


L’andouille qui interroge Zinoviev l’accuse déjà de Théo-rire du complot quand Zinoviev ne pratique que la théorie de la constatation. Zinoviev rappelle que nous sommes très abrutis :


Nous sommes dans une époque post idéologique mais en réalité la supra-idéologie du monde occidental diffusée au cours des 20 dernières années est bien plus forte que l’idéologie communiste ou national-socialiste. Le citoyen occidental est bien plus abruti que ne l’était le soviétique moyen par la propagande communiste. Dans le domaine idéologique, l’idée importe moins que les mécanismes de sa diffusion. Or la puissance de diffusion des médias occidentaux est énorme. (…) Il suffit que la décision soit prise de stigmatiser un Karadzic ou un Milosevic et ça y est, une machine de propagande planétaire se met en branle. Et alors qu’il faudrait juger les dirigeants occidentaux pour viol de toutes les règles de droit existants… La majorité des citoyens occidentaux sont persuadés que la guerre contre la Serbie était juste.


Puis Zinoviev fait une remarque intéressante sur un sujet que j’avais évoqué dans la presse russe (pravda.ru) :


L’Occident se méfiait moins de la puissance militaire soviétique que de son potentiel intellectuel, artistique, sportif. Parce qu’il dénotait une extraordinaire vitalité. Or c’est la première chose à détruire chez son ennemi. Et c’est ce qui a été fait. La science Russe dépend aujourd’hui des financements Américains. Et elle est dans un état pitoyable, car ses derniers n’ont aucun intérêt à faire travailler leurs concurrents. Ils préfèrent faire travailler les savants Russes aux États-Unis. Le cinéma soviétique a lui aussi été détruit et remplacé par le cinéma Américain.


Le destin de l’Amérique est d’abrutir et de « fabriquer de la merde » comme me disait un jour le grand et courageux cinéaste Richard Brooks :


En littérature, c’est la même chose. La domination mondiale s’exprime, avant tout, par le diktat intellectuel ou culturel si vous préférez. Voilà pourquoi les Américains s’acharnent depuis des décennies à faire baisser le niveau culturel et intellectuel du monde : ils veulent l’abaisser au leur pour pouvoir exercer ce diktat.


J’ai évoqué ces réalités dans mes textes sur la culture comme arme de destruction massive. Regardez ce qu’ils ont fait de l’Inde ou de l’Asie… Tous abonnés à Marvel comics ! Même Scorsese ou Ridley Scott s’en sont plaint…

Tout cela est irrésistible car c’est malheureusement un vieux processus. C’est l’uniformisation entamée depuis la Renaissance. Ici Zinoviev rejoint Spengler et René Guénon :


Le processus d’uniformisation du monde ne peut être arrêté dans l’avenir prévisible. Car le totalitarisme démocratique est la dernière phase de l’évolution de la société occidentale. Évolution commencée à la Renaissance.


Nicolas Bonnal
– Août 2020

Source :
nicolasbonnal.wordpress.com

***

Voir aussi :
LE FACTEUR DE TRAHISON

par Alexandre Zinoviev


 

Trahison nationale, en France aussi : La longue marche de trahison nationale des marionettes US et L’errance stratégique des partisans d’une France libre, républicaine et sociale - Claude Beaulieu

 

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23 août 2020 7 23 /08 /août /2020 10:13

"Qu'en des termes choisis ces choses là sont dites". Les discours les plus courts sont toujours les meilleurs. Qui trop embrasse mal étreint.

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15 août 2020 6 15 /08 /août /2020 13:38

Analyse fin juillet 2020

https://youtu.be/y9L35uUSf_0

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15 août 2020 6 15 /08 /août /2020 09:32

Au delà des élucubrations des politiques et de pseudos conseillers scientifiques les chiffres officiels accompagnés de la méthodologies à l'adresse suivante 

https://insee.fr/fr/statistiques/4487861?sommaire=4487854

Il n'y a donc pas péril en la demeure. tout le reste n'est qu'enfumage.

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3 août 2020 1 03 /08 /août /2020 08:58
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7 juillet 2020 2 07 /07 /juillet /2020 13:02

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28 juin 2020 7 28 /06 /juin /2020 13:19

La Vérité toute nue

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26 juin 2020 5 26 /06 /juin /2020 19:31

Ce texte, rédigé pour partie avant le premier tour et transmise aux sites des différents candidats pourrait être intitulé « Le changement ce n’est pas la continuité » car c'est bien ce qu'il adviendra quelle que soit l'équipe gagnante .

 

Echanges avec madame le maire.

Madame le Maire vous savez comme moi que le compte rendu d'une séance d'un conseil municipal doit être publié et accessible huit jours  après la séance point de départ des recours contre les décisions prises qui à défaut sont exécutoire sous deux mois. Or aujourd'hui 21 mars 2020 la mairie est fermée jusqu'à nouvel avis, le compte rendu et les délibérations ne sont pas portées sur le site de la commune et par conséquent téléchargeables. Cette situation est en contradiction avec la réglementation en vigueur qui à ce jour selon les informations dont je dispose ne semble pas avoir été suspendue: 

Par conséquent je vous prie de bien vouloir vous mettre en conformité avec l'Article L311-9

L'accès aux documents administratifs s'exerce, au choix du demandeur et dans la limite des possibilités techniques de l'administration :

1° Par consultation gratuite sur place, sauf si la préservation du document ne le permet pas ;

2° Sous réserve que la reproduction ne nuise pas à la conservation du document, par la délivrance d'une copie sur un support identique à celui utilisé par l'administration ou compatible avec celui-ci et aux frais du demandeur, sans que ces frais puissent excéder le coût de cette reproduction, dans des conditions prévues par décret ;

3° Par courrier électronique et sans frais lorsque le document est disponible sous forme électronique ;

4° Par publication des informations en ligne, à moins que les documents ne soient communicables qu'à l'intéressé en application de l'article L. 311-6.

Je vous remercie par avance de votre obligeance en étant stupéfait que vos concurrents n'aient pas jugé utile de soulever ce point de droit. Jack Freychet

Réponse de madame le maire

Le 21/03/2020 à 13:38, T Leroux a écrit :

Monsieur Freychet 

Le compte rendu du conseil et les délibérations ont été affichés dès mardi matin. Il est vrai qu’il n a pas été publié sur le site, l’agent en charge du site étant à risque je ne veux pas qu’elle sorte. Je verrai avec la société avec laquelle nous travaillons à ce que ce soit fait lundi. 

Je vous souhaite un bon WE

T. Leroux 

Envoyé de mon iPhone

Commentaires de JF :

Il apparaît qu’aucun des candidats à la succession de l’actuelle majorité municipale ne se soit senti concerné par ce point de droit qui constitue un des vestiges de la démocratie locale, pas plus d’ailleurs de l’érosion des moyens financiers des collectivités territoriales et de la tentative d’harmonisation par le bas des systèmes de retraite ce qui laisse mal augurer de ce que sera le mandat suivant. Il en est ainsi de tous les grands sujets d’actualité qu’ils soient locaux, régionaux ou nationaux.

Rien sur les mesures de confinement décidées autoritairement par le gouvernement, un président élu pour faire barrage à l’extrême droite mais qui s’est approprié ses pratiques traditionnelles, avalisées par le parlement (députés et sénateurs) au prétexte mensonger de protéger la population de contamination par le corona virus alors qu’il s’agit de l’étaler dans le temps pour deux raisons essentielles :

D’abord pour masquer le délabrement de notre système hospitalier, auquel les gouvernements successifs ont contribué, incapable de faire face par insuffisance des structures de prise en charge et de réanimation après les dizaines de milliers de suppressions de lits ces 40 ou 50 dernières années ( 14000 ces 6 dernières années) et la suppression des personnels soignants tout en donnant de maigres subsides à un système ambulatoire de jour, aujourd’hui mis en veilleuse mais incapable de pallier les insuffisances .

En France l’armée est appelée à la rescousse, là ou les suppressions de lits ont été les plus importantes En Italie ce sont les cubains et les chinois.

Rien à l’ instant où j’écris ces quelques lignes pour effectuer une détection de masse et mettre en œuvre des thérapies qui ont fait preuve de leur efficacité en Chine, en Corée telles l’association d’anti viraux pour réduire le nombre de contaminés et d’antibiotiques spécifiques pour traiter et prévenir les complications.

Ensuite pour tester les degrés de crédulité et de soumission des populations de l’ex pays des droits de l’Homme et du Citoyen ce qui laisse présager de nouvelles tentatives de remise en cause des résidus de nos acquis démocratiques si l’opinion ne réagit pas majoritairement.

Les politiques toutes tendances confondues sont au dessus de ça, nombre de scientifiques également vous de même, les suiveurs comme les têtes de listes. Vous n’êtes que spectateurs indifférents et par conséquent passifs de ce qui se déroule autour de vous et qui se retournera contre les plus âgés de nos concitoyens, ceux atteints et de polypathologies, condamnés à une lente asphyxie faute de respirateurs avant que les ampoules euthanasiantes qu’il est envisagé de livrer dans les pharmacies soient utilisées pour abréger leur calvaire.

J’ajoute, ce mardi 24 mars 2020, à 10 h46 que madame le maire n’a pas tenu son engagement. Le compte rendu et les délibérations adoptées lors du dernier conseil ne sont toujours pas sur le site de la commune ; La raison invoquée est fallacieuse car toute personne autorisée peut intervenir à distance sur le site n’est-ce pas monsieur Fraysse ?

Finalement tout vient à point pour qui sait attendre la mise en ligne du CRS 5 (Compte Rendu Succinct) a été faite quelques heures plus tard

Texte intégral : https://www.villiers-sur-orge.fr/IMG/pdf/CRS_CM_20200311.pdf

Commentaires JF :

Seul le procès verbal exhaustif permet de prendre connaissance des arguments avancées par les différents protagonistes, ce n’est pas le cas d’un compte d’un compte rendu succinct qui peut néanmoins, pour qui sait décoder, être révélateur des positions des uns et des autres.

Le PV de la séance précédente a été adopté à la majorité après des échanges à fleurets mouchetés (abstention J. SIMONS et G. FRAYSSE)

Sur le débat d’orientation budgétaire et la réforme de la taxe d’habitation :

Selon le rapport de madame le maire la suppression de cette taxe sera compensée «à l’euro près », a promis l’exécutif ( le gouvernement) . Il est prévu de puiser dans la part des recettes issues de la taxe sur le foncier bâti, soit environ 15 milliards d’euros annuels, revenant jusqu’ici aux Départements. Ceux-ci se verront reverser une partie de la taxe sur la valeur ajoutée.

On sait que les promesses des exécutifs ne sont que poudre aux yeux. Le tableau présenté par madame le maire, publié préalablement dans le bulletin municipal de septembre 2019, concernant l’érosion de la DGF de 2008 à 2019 en témoigne. Par ailleurs Le transfert de 15 milliards d’euros des Départements vers les collectivités locales et EPCI , à moins de constituer une perte totale ou partielle, devront être compensés par une augmentation de la TVA qui pèsera sur le pouvoir d’achat des salaires , retraites et pensions à laquelle les villiéraines et les villiérains n’échapperont pas…tout en étant par ailleurs contraints d’honorer le remboursement des gaspillages « anti coronarien » de Macron, de ses équipes et de faire face à la décroissance économique programmée en cours dont il est responsable .

Sur les délibérations :

Contrairement à ce qui est écrit dans le CRS le DOB ne nécessite pas une délibération ; les présents et représentés en ont simplement pris acte à l’unanimité, par contre les délibérations (4-5-6-7-9) ont été adoptées à l’unanimité, y compris par J Simons candidat sur la liste de madame Crueize.

Celle, n° 8, relative à l’application des dernières dispositions du RIFSEEP ne l’a été qu’à la majorité.

Les colistiers de Fraysse, P. WITTERKERTH; I. LAFAYE se sont abstenus, ce qui constitue un mauvais présage pour la cohésion du groupe, dans l’hypothèse ou il deviendrait majoritaire après le second tour. Monsieur Fraysse , prétextant ne pas avoir été suffisamment informé a voté contre.

Pourtant cette réforme du régime indemnitaire des agents des collectivités territoriales avait été initiée en 2016 sous la présidence Hollande, Valls était premier ministre, Macron piaffait dans son paddock. En 4 années il avait largement eu le loisir d’en prendre connaissance d’autant que ce n’est pas la première fois que le sujet est traité en conseil à Villiers sur Orge. En quelques clics il aurait pu découvrir que c’est un système d’indemnisation et d’avancement à la gueule de client. Que les emplois saisonniers annoncés, entre autres, n’y auront pas accès.

Compte tenu de votes exprimés lors de ce dernier conseil il est évident que ce qui sépare les tenants et les aspirants à le devenir est de l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarettes. Financièrement la marge de manœuvres est infime pour ne pas écrire inexistante. Rien ne les différencie sur le fond, reste la forme pour apprendre aux plus démunis à bien se tenir devant une assiette vide. Ce n’est pas ça le changement, c’est la continuité.

Tous ceux et celles qui pourraient en douter trouveront confirmation de mes assertions sur les comptes rendus, voire les procès verbaux, en particulier des séances des conseils municipaux de 2008 à 2014, qui m’avaient poussé à m’autonomiser, en matière de vote, du groupe des élus « renouveau solidaire à Gauche », Président de liste G Fraysse, avec lequel j’avais de nombreux désaccords.

Notez également que je ne peux non plus cautionner les intrusions du maire de Sainte Geneviève des Bois, président de l’agglo et du sénateur socialiste Leonhardt , qui ont fait le lit de Macron, dans une campagne électorale qui ne concerne que les Villiéraines et les Villiérains. En outre avez-vous croisé l’un de ces tristes sires voire un (e) seul(e) des candidat (e) s à cette élection municipale lors d’une manifestation des Gilets jaunes ?

A la veille du second tour, après le retrait de madame Leroux, deux listes sont en présence et ratissent large, à un point tel qu'il devient difficile pour un observateur non averti de détermine quels sont ls options politiques des uns et des autres qui vous assurent la main sur le cœur qu'ils n'ont d'autre objectif que de faire « moins pire que leur adversaire »

Monsieur Dhondt, le bétonneur, conduit un rassemblement à vocation droitière, Monsieur Fraysse, l'utopiste, symbolise la fausse gauche l'un et l'autre sont dans la mouvance macronienne, aucun des grands problème de l'heure n'a été abordé, pas plus les manipulations médiatiques gouvernementales qui nous incitent à capituler en rase campagne devant les exigences du capital privé qui licencie à tour de bras pour ensuite réinvestir dans des pays dont la main d' oeuvre est plus docile et à coût moindre pour ne nous laisser qu'à compenser au travers des impôts sur le revenus du travail, et autres taxes, le montant des aides octroyées aux entreprise en difficultés au prétexte fallacieux de la crise sanitaire alors qu'elles sont la conséquences de la gestion désastreuses de la gestion de notre économie depuis des décennies sous les mandatures successives de Mitterand qui avait jugé utile de quitter Vichy en 1943 après les défaites de la Werhmacht devant Moscou puis à Stalingrad afin de se refaire une virginité, de Chirac qui avait néanmoins conservé quelques accents gaulliens, puis Sarkosy, Hollande...

Par conséquent je n'irai pas voter dimanche 28 juin, ni même en faire le simulacre, que chacun agisse en son âme et conscience et en assume les conséquences.

Ce texte n'épuise pas le sujet. Loin s'en faut !

Freychet J.

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17 juin 2020 3 17 /06 /juin /2020 10:39
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11 juin 2020 4 11 /06 /juin /2020 10:36

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7 juin 2020 7 07 /06 /juin /2020 12:22

pour soutenir le plan Macron-Merkel.

 

Cinq organisations syndicales françaises dont la CGT, et la Confédération des syndicats allemands (DGB) ont publié, le 20 mai, un texte commun. Son propos explicite et avoué est de soutenir l’initiative commune du président français et de la chancelière allemande pour une « relance » européenne.

Les directions syndicales n’ont vraiment pas perdu de temps : moins de quarante-huit heures après la conférence de presse conjointe d’Emmanuel Macron et d’Angela Merkel, elles exhortent à « emboîter le pas » à la proposition franco-allemande, tout en revendiquant plus d’intégration et donc moins de souveraineté. Simultanément, les organisations patronales allemande, italienne et française se sont exprimées de manière tout à fait convergente. Bel unanimisme !

« Emboîter le pas »… l’expression est savoureuse. Et sur le fond, l’événement est inédit. Certes, depuis deux décennies, le cousinage avec des centrales d’obédience sociale-démocrate au sein de la Confédération européenne des syndicats (CES) a profondément transformé l’idéologie qui prévaut au sein de la direction confédérale de la CGT. Jusqu’à présent cependant, celle-ci n’était jamais allée jusqu’à donner un satisfecit aux deux grands défenseurs des travailleurs qui siègent respectivement à l’Elysée et à la chancellerie fédérale.

Le texte ne se contente pas d’un soutien. Il appelle à aller plus loin dans la voie conjointe et indissociable : encore plus d’Europe, et encore plus de « vert ». Il y a quinze ans tout juste, la direction confédérale de la CGT essuyait un cinglant désaveu quand le Comité Confédéral National se positionnait clairement pour rejeter le projet de traité constitutionnel. Aujourd’hui, les dirigeants confédéraux récidivent, en pire : ils n’hésitent pas à marteler que « seule une réponse européenne ambitieuse » pourra faire repartir la croissance.

D’abord, une telle affirmation apparaît comme farfelue au regard de l’expérience de ces dernières années la zone euro, avec l’austérité qui en est indissociable, a eu les pires résultats au monde. Du reste, sa politique de restrictions et de rentabilité à tout prix en matière de santé n’est pas étrangère aux dramatiques conséquences de l’épidémie de Covid 19 et au désastre de sa gestion. Cela a d’ailleurs conduit des pays comme l’Italie à faire appel, avec succès, à la solidarité de Cuba, de la Russie et de la Chine.

D’autre part et surtout, les dirigeants européens, et la Commission européenne en particulier, définissent désormais comme priorité numéro un leur « Pacte vert », qui vise ouvertement une « transition écologique ». Est explicitement visée l’industrie « carbonée » : l’automobile, la construction aéronautique (ainsi que le transport aérien), mais aussi les raffineries et la sidérurgie sont en première ligne.

Au nom d’un « verdissement » que réclament de plus en plus d’appels patronaux et de médias dominants, il s’agit de se débarrasser des secteurs qui rassemblent bien souvent la classe ouvrière aux traditions de luttes les plus ancrées. La liquidation des mineurs avait joué un rôle précurseur. Du reste, le président de la confédération européenne des syndicats industriels IndustriAll, le syndicaliste belge Luc Triangle, signalait que ledit Pacte vert allait menacer pas moins d’onze millions d’emplois, précisant qu’il n’évoquait là que les emplois directs. Pourtant, IndustriAll est partie prenante de la CES, et donc insoupçonnable d’être climato-sceptique…

Dans le « monde d’après » dont essayent de nous faire rêver les élites dirigeantes, patronales, politiques, syndicales et médiatiques, il est peu probable que les millions de futurs chômeurs se recasent tous comme auxiliaire de vie, comme designer de sites Web, voire comme techniciens d’isolation des bâtiments.

On notera enfin que parmi les axes de Bruxelles dans le cadre de la « transition écologique » figure la proposition de « rendre à la nature » (sic !) 10% des surfaces agricoles. On a bien lu : à l’heure où des centaines de millions d’êtres humains souffrent de la faim, la Commission ose sans trembler suggérer de diminuer les surfaces à cultiver – au nom de la « biodiversité » !

Et que dire de la désignation de Black Rock comme expert « social et environnemental » de la Commission européenne ? Premier gestionnaire de fonds mondial, la firme US administre 7 000 milliards de dollars d’actifs. Elle a fortement inspiré Macron dans sa réforme des retraites.

Mais qu’importe : pour les organisations signataires du texte « cinq + un », on « ne doit rien délaisser des ambitions affichées avec le ‘Green Deal’ », appellation officielle du « Paquet vert » de Bruxelles ainsi officiellement désigné dans la langue du pays qui vient de dire adieu à l’UE…

Curieusement, si les signataires saluent l’initiative Merkel-Macron, ils restent discrets sur son contenu exact. Il faut donc le préciser : Paris et Berlin proposent que l’UE emprunte 500 milliards sur les marchés financiers. Puis répartisse cette somme entre les pays bénéficiaires en fonction de leurs difficultés économiques et sanitaires (Italie, Espagne…). Quant au remboursement de cette somme et des intérêts, il sera à la charge des pays les plus « riches ». Autrement dit de l’Allemagne… et de la France – détail sur lequel le maître de l’Elysée ne s’est pas étendu.

Pour ce dernier comme pour sa collègue de Berlin, cela doit être ainsi fait « au nom de la solidarité » vis-à-vis des pays du sud, et c’est sans doute cet affichage qui séduit les dirigeants syndicaux. Tout syndicaliste digne de ce nom devrait pourtant savoir qu’il n’est de solidarité que de lutte.

La réalité – et nul ne s’en cache vraiment – c’est qu’à Paris et à Berlin, on s’inquiète pour l’avenir de la zone euro. Car la crise provoquée par des années d’austérité, et qui risque de tourner au carnage social et industriel dans les mois qui viennent, menace de creuser encore plus le fossé entre les différents pays de la monnaie unique. Les dirigeants français, et plus encore allemands, doivent donc jouer les pompiers pour sauver une zone euro menacée par l’éclatement. Une stratégie dans l’intérêt bien compris de la classe possédante qu’ils défendent, et au détriment de tous les peuples d’Europe, au nord comme au sud.

Pour bien comprendre l’empressement des syndicalistes dont la CGT courant à la rescousse du duo franco-allemand, il faut avoir en tête que la Commission européenne présente son propre plan le 27 mai, et que celui-ci sera ensuite discuté par les chefs d’Etat et de gouvernement des vingt-sept pays membres de l’UE (notamment lors d’un sommet les 18 et 19 juin).

Quatre pays en particulier rechignent à être les dindons de la farce de la (pseudo)-solidarité, et sont de ce fait accusés de « radinerie » par d’autres dirigeants européens (dont l’ancien banquier de chez Rothschild). Non pas tant parce qu’ils seraient des défenseurs du peuple, mais parce que leurs électeurs sont les plus réticents à se sacrifier « au nom de l’Europe ». En l’occurrence : les Pays-Bas, l’Autriche, le Danemark et la Suède.

Ces deux derniers pays ont comme particularité d’être dirigés par des sociaux-démocrates, très liés à leurs syndicats nationaux selon la tradition scandinave. Or ni les syndicalistes danois, ni leurs camarades suédois ne sont enthousiastes pour que les travailleurs de ces pays payent les pots cassés des drames italiens, espagnols et, à nouveau, grecs causés par les politiques communautaires.

On peut raisonnablement penser qu’au sein de la « grande coalition » qui gouverne l’Allemagne, les sociaux-démocrates se soient donc vu demander de tenter de convaincre leurs petits camarades scandinaves. Parallèlement, le DGB allemand pourrait bien avoir mobilisé ses homologues français pour tenter de faire pression, à travers le texte commun, sur les confédérations suédoise, danoise – et autres. Avec l’aide décisive de Laurent Berger, à la fois leader de la CFDT et président de la CES.

Il revient donc aux syndiqués CGT de décider si la direction confédérale était fondée à s’embarquer dans cette galère.

Des milliers et des milliers de militants CGT ont, depuis plus d’un siècle, employé leur énergie, déployé intelligence et courage, et parfois donné leur vie en liant le combat pour défendre les intérêts de classe et la souveraineté du pays.

Face à la classe dominante qui réussit aujourd’hui à marquer des points en étendant son emprise idéologique, la meilleure manière d’être fidèle aux générations qui ont fait la CGT est de poursuivre ce double combat.

Jean-Pierre Page, ancien responsable du département international de la CGT

Pierre Lévy, journaliste, ancien responsable CGT au sein d’un groupe de la métallurgie

le 31 mai 2020

Front Syndical de Classe

 

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5 juin 2020 5 05 /06 /juin /2020 09:22

Faisant partie de la commission qui conseillera Emmanuel Macron sur les grands défis économiques de l'après-crise, le directeur de la Toulouse School of Economics, Christian Gollier, estime nécessaire de «donner une seconde chance» à la taxe carbone dont la réévaluation avait été suspendue face aux manifestations des Gilets jaunes.

Gelée dans le contexte des manifestations des Gilets jaunes qui ont débuté le 17 novembre 2018, la taxe carbone semble refaire surface et pourrait repartir à la hausse. L’idée est notamment défendue par le directeur de la Toulouse School of Economics, Christian Gollier, qui est membre de la commission des 26 économistes devant conseiller Emmanuel Macron sur les grands défis économiques de l'après-crise.

«Je pense qu'il faut lui donner une seconde chance», a-t-il déclaré sur BFM Business ce 1er juin.

Il a toutefois précisé qu’il était nécessaire d'adapter la taxe carbone «aux informations nouvelles qui sont apparues, notamment l'importance cruciale d'avoir un système d'incitations qui soit compatible avec la réduction des inégalités», soit de ne pas léser les intérêts des Gilets jaunes.

«La taxe carbone a cet avantage de pouvoir générer des recettes fiscales supplémentaires qui peuvent être distribuées […] vers les agents économiques qui sont les plus vulnérables», a expliqué Christian Gollier.

Surtout, a-t-il encore faire remarquer, il importe d’«empêcher certains agents économiques d'être exemptés de cette taxe», car cette exemption avait constitué l’un «des éléments moteurs de la crise des Gilets jaunes».

En effet, les automobilistes devaient payer la taxe carbone, alors que les avions ou les taxis en étaient exemptés.

La taxe

Mise en place en France en 2014, la taxe carbone sur les énergies fossiles, comme le gaz, le pétrole et leurs dérivés qui émettent beaucoup de CO2, se montait à sept euros par tonne de CO2 et a été réévaluée chaque année pour arriver à 44,60 euros en 2018. Elle est payée par les entreprises et les particuliers, mais comprend des exemptions, notamment pour les secteurs aérien ou maritime.

Face aux protestations des Gilets jaunes, le gouvernement avait annulé la hausse prévue au 1er janvier 2019, la taxe restant ainsi inchangée. La France, qui veut atteindre la neutralité carbone en 2050, devrait faire monter la taxe à 90 euros la tonne en 2020 puis l'augmenter à 775 euros en 2050, avait précédemment rappelé l’AFP.

La Commission européenne souhaite pour sa part étendre le système d'échanges de quotas d'émission de CO2 au secteur maritime et réduire le nombre de quotas alloués gratuitement aux compagnies aériennes, avait fait savoir le quotidien Les Échos.

Note de jF cette taxe est sans réellle justification.

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5 juin 2020 5 05 /06 /juin /2020 07:46

Faisant partie de la commission qui conseillera Emmanuel Macron sur les grands défis économiques de l'après-crise, le directeur de la Toulouse School of Economics, Christian Gollier, estime nécessaire de «donner une seconde chance» à la taxe carbone dont la réévaluation avait été suspendue face aux manifestations des Gilets jaunes.

Gelée dans le contexte des manifestations des Gilets jaunes qui ont débuté le 17 novembre 2018, la taxe carbone semble refaire surface et pourrait repartir à la hausse. L’idée est notamment défendue par le directeur de la Toulouse School of Economics, Christian Gollier, qui est membre de la commission des 26 économistes devant conseiller Emmanuel Macron sur les grands défis économiques de l'après-crise.

«Je pense qu'il faut lui donner une seconde chance», a-t-il déclaré sur BFM Business ce 1er juin.

Il a toutefois précisé qu’il était nécessaire d'adapter la taxe carbone «aux informations nouvelles qui sont apparues, notamment l'importance cruciale d'avoir un système d'incitations qui soit compatible avec la réduction des inégalités», soit de ne pas léser les intérêts des Gilets jaunes.

«La taxe carbone a cet avantage de pouvoir générer des recettes fiscales supplémentaires qui peuvent être distribuées […] vers les agents économiques qui sont les plus vulnérables», a expliqué Christian Gollier.

Surtout, a-t-il encore faire remarquer, il importe d’«empêcher certains agents économiques d'être exemptés de cette taxe», car cette exemption avait constitué l’un «des éléments moteurs de la crise des Gilets jaunes».

En effet, les automobilistes devaient payer la taxe carbone, alors que les avions ou les taxis en étaient exemptés.

La taxe

Mise en place en France en 2014, la taxe carbone sur les énergies fossiles, comme le gaz, le pétrole et leurs dérivés qui émettent beaucoup de CO2, se montait à sept euros par tonne de CO2 et a été réévaluée chaque année pour arriver à 44,60 euros en 2018. Elle est payée par les entreprises et les particuliers, mais comprend des exemptions, notamment pour les secteurs aérien ou maritime.

Face aux protestations des Gilets jaunes, le gouvernement avait annulé la hausse prévue au 1er janvier 2019, la taxe restant ainsi inchangée. La France, qui veut atteindre la neutralité carbone en 2050, devrait faire monter la taxe à 90 euros la tonne en 2020 puis l'augmenter à 775 euros en 2050, avait précédemment rappelé l’AFP.

La Commission européenne souhaite pour sa part étendre le système d'échanges de quotas d'émission de CO2 au secteur maritime et réduire le nombre de quotas alloués gratuitement aux compagnies aériennes, avait fait savoir le quotidien Les Échos.

Note de JF: il va falloir honorer la facture qui ne repose sur aucune réelle justification.

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29 mai 2020 5 29 /05 /mai /2020 10:16

Le point de vue de Douste Blazy, ancien ministre, sur la dernière publication de "the lancet".

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